Loving a Porsche 928 is a labour

[fred_moss]

un article sympa de DUBAI ....


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My Car: Loving a Porsche 928 is a labour

by Kevin Hackett Sep 23, 2011

After a succession of expensive mechanical jobs, it's only now that Michel de Martigny is beginning to appreciate owning his 1988 Porsche 928.



In Dubai it is reckoned there are no more than a dozen Porsche 928s. I've now seen at least three of them and I'm yearning to own one again because, about eight years ago, I owned a 1985 S2 and it was an utterly fantastic car.

A proper GT car, the 928 was supposed to replace the 911 in 1977 but Porsche never managed to kill off the rear-engined ex-Beetle and the 928 has become something of an enigma. Surviving cars are often ropey, unloved and should be avoided at all costs, but find a good one and they represent a fine classic purchase. However, a brief chat with Michel de Martigny is enough to make you think twice.

Michel has, to say the least, been put through the mangle by his car. Porsche 928s are extremely complex machines that were years ahead of their time and neglect by a previous owner means financial hardship for the next. Michel is a Canadian expat living in Dubai and working in IT management, so he's obviously intelligent. But buying a 928 is never a decision based on pure logic. Speaking from personal experience, it's a car that just grabs you on an emotional level and won't let go until you've given in and assumed ownership.



"The model was launched when I was just starting my work career and it really appealed to me," Michel recalls. "I've always been attracted to cars that are unique and special but not necessarily mainstream or popular. And, after meeting my wife, I needed a second car and when I saw this 928 advertised on the board at Spinneys, I jumped, probably a bit too quickly."

Michel bought the 1988 S4 you see here in 2005 from a German, Dubai-based businessman and this, he admits, lulled him into a false sense of security. "I visited the mechanic he'd been using and was assured it was in fine condition and that the engine's compression was tip-top. So I bought it, thinking it just needed a bit of tweaking here and there," he grimaces. Five minutes after buying it, with a very sceptical wife on-board, the 928 suffered a total ECU failure. The writing was on the wall. "This took the car off the road for two weeks and, once it was running, I had a full diagnostics test carried out, which showed the engine was pretty much fried," he recalls.



That mechanic denied ever having tested the car's engine or saying it was sound, so an expensive trust lesson was learnt. Can you feel his pain yet? I certainly can. What followed was a succession of expensive yet necessary jobs, including rebuilding the 5L V8, new shocks and springs, three new air conditioning compressors, alternator, brakes, stainless-steel exhaust, radiator, front spoiler, new centre console after the car was broken into during a sojourn to the UK ("the thief got a radio worth Dh30 and my insurers got a bill for Dh12,000!), new steering rack and several new batteries.

Understandably, Michel became convinced the car was cursed. "I even named it Kristen - the German equivalent of Christine, after the possessed car in the Stephen King novel," he laughs. "But I'm over the worst and, now, owning the 928 is actually enjoyable. The key to happy ownership of a car like this here is to find a mechanic you can trust and, at last, I have that. It gets attention wherever it goes, my five-year-old son loves it and hopefully one day it will be his."

[lionel_lio]

La clé de la propriété heureuse d'une voiture comme celle-là est de trouver un mécanicien à qui vous pouvez faire confiance

[9284vr]

Le plaisir d'une 928, cela se mérite

Après une succession de travaux mécaniques coûteux, c'est seulement maintenant que Michel de Martigny commence à apprécier sa Porsche 928 de 1988.

Dubaï ne compte pas plus d'une douzaine de Porsche 928. J'en ai ai croisée à peine trois d'entre elles et je me languit d'en racheter une : il y a huit ans, je possédais une S2 de 1985, une voiture absolument fantastique.

Conçue comme une Grand Tourisme, la 928 était censée remplacer la 911 en 1977, mais Porsche n'a jamais réussi à enterrer le moteur à l'arrière de la néo-Coccinelle et le 928 est devenue quelque chose d'énigmatique. Les voitures ayant survécu à cette désaffection sont souvent mal en point et devraient être évitées à tout prix, mais trouver un exemplaire en bon état représente une réelle opportunité pour un amateur averti. Toutefois, le témoignage de Michel de Martigny vous permettra d'y réfléchir à deux fois...

Le moins qu'on puisse dire, c'est que rien n' été épargné à Michel. La Porsche 928 est une voiture extrêmement complexes, très en en avance en son temps, et la négligence d'un propriétaire précédent engendre obligatoirement des sanctions financières pour le suivant.
Michel est un expatrié canadien vivant à Dubaï et travaillant dans la gestion informatique, on peut donc supposer qu'il n'est pas idiot. Mais l'achat de 928 n'est jamais une décision basée sur la logique pure.
Et puisqu'on évoque l'expérience personnelle, sachez que c'est une voiture qui vous saisit totalement sur un niveau émotionnel et ne lâchera pas jusqu'à ce que vous ayez cédé et assumé son acquisition.
"La 928 a été lancée quand je commençais juste ma carrière professionnelle, et elle a vraiment marquée mon esprit », se rappelle Michel. "J'étais toujours attiré par les voitures originales et rares, mais en dehors des courant dominant ou populaires. Après avoir rencontré mon épouse, une deuxième voiture s'est avérée nécessaire. Quand j'ai vu cette 928 dans les colonnes des petites annonces de mon journal, je me suis jeté dessus, probablement un peu trop rapidement."

Michel a acheté sa S4 de 1988 en 2005 à un homme d'affaires allemand, Basé à Dubaï et ceci, il l'admet, l'a plongé dans un sentiment de sécurité plutôt trompeur. « J'ai rendu visite au mécanicien en charge de l'entretien de la voiture, et il m'a assuré qu'elle était en très bon état et que les compressions était nickel au niveau du moteur. » Et d'ajouter en grimaçant : «  Alors je l'ai achetée, en pensant qu'il y aurait juste deux ou trois bricoles à faire dessus... ».

A peine cinq minutes plus tard, avec son épouse des plus sceptiques à bord, le calculateur d'injection rendit l'âme. L'affaire prenait mauvaise tournure. « Cet incident immobilisa la voiture deux semaines, et quand elle fut réparée, elle subi une inspection complète, qui montra que le moteur était plus ou moins cuit. » se rappelle-t-il.
Le mécanicien nia avoir testé le moteur, ni affirmé qu'il était en pleine forme : une coûteuse leçon sur la confiance fut administrée ce jour là. Vous n'en mesurez peut-être pas la douleur, mais moi oui.
S'en suivit une cascade de travaux tous aussi onéreux qu'indispensables, dont le reconditionnement intégral du V8 de 5l., de nouveaux amortisseurs et ressorts, trois compresseurs de climatisation, alternateur, freins, ligne d'échappement inox, radiateur, spoiler avant, une console centrale neuve après que la voiture fut vandalisée lors d'une séjours en Angleterre (« Le voleur s'est emparé d'une radio à 6€, et mon assureur reçu une facture de 2400€!), nouvelle crémaillère de direction et une poignée de batteries neuves.
En toute logique, Michel fut convaincu que sa voiture était possédée par le mal. « Je l'ai même baptisée « Kristen » – équivalent germanique de « Christine », la voiture démoniaque de la nouvelle de Stephen KING », plaisante-t-il, « mais le pire est derrière moi, et désormais, conduire cette 928 est un vrai bonheur. Le secret pour un bonheur sans faille au volant d'une 928, c'est de la confier à un mécanicien en qui vous pouvez avoir confiance, et je l'ai enfin trouvé. Nous prenons soin d'elle où que nous allions, mon fils de cinq ans l'adore, avec bon espoir qu'un jour elle sera sienne ».

Kevin Hackett, le 23 Septembre 2011

[BUBU4680]

Séquence émotion

C'est beau !!