Nikuz (F) 01, 928 S4 de 89
Posté : sam. 29 juin 2024 10:42
Bonjour à tous !
Voilà, j’ai depuis quelques mois le grand plaisir d’avoir rejoint la belle famille des propriétaires de 928, après plus de 40 ans dans celle des passionnés !
Je m’appelle Nicolas, 52 ans, de Genève en Suisse, mais vivant dans l’Ain.
Depuis décembre 2023, je cocoon avec une magnifique 928 S4 automatique de 1988 (modèle 89), achetée en 4e main a un professionnel d’anciennes sportives de la region de Biarritz dont c’était la voiture personnelle. Peut-être est-il membre du club et vous connaissez donc déjà la voiture.
La belle a tout juste 70’000 km (dont 4’000 avec moi), et a déjà eu plusieurs vies : voiture allemande immédiatement exportée au Japon en 1989, desimmatriculée en 1994 (d’où le faible kilométrage), réimportée en Allemagne en 2007 avec 20’000km, puis en France par mon vendeur en 2020. Matching number, peinture d’origine et historique très complet. La belle était membre du Porsche Club 928 en Allemagne et y a même gagné un concours d’élégance en 2014.
Dans les options, elle a le pont auto bloquant, le toit ouvrant, la double climatisation et les sièges électriques à mémoire et chauffants g&d. Un autoradio Blaupunkt Bremen SQR 46 est venu remplacer celui d’origine. Et les jantes sont des GT polies.
J’espère que la belle va passer ses 35 prochaines années en ma compagnie, car j’ai accompli un de mes rêves en l’acquérant. Enfant et adolescent à Genève, voir passer des 928 était relativement fréquent. Moi a vélo, j’avais droit à l’image, et au son ! Quelle élégance et bestialité a la fois. C’est grâce à mon dentiste (haha, eh oui!) que j’ai eu le plaisir d’en conduire une la premiere fois, a mes 30 ans. Mon dentiste est porschiste passionné et on parlait de la 928 en attendant que la piqure d’anesthésiant fasse effet…
À côté de ma belle, un autre de mes rêves d’enfant lui tient compagnie. Une magnifique Maserati Quattroporte III de 1984. Là aussi, la magie du gros V8, mais c’est une autre histoire. Ce qui est sur, c’est qu’en passant de l’une a l’autre, on mesure la difference d’ingénieurie entre deux voitures développées dans la fin des années 1970. La Maserati, c’est un peu la fin d’une époque, celle des officines, des voitures faites main, très attachantes mais approximatives dans leur construction. La Porsche, c’est le début de l’ère moderne, à la conception rigoureuse et informatique. On n’y rigole pas, c’est du sérieux et fait pour rouler et durer.
Ravi donc de vous rejoindre et au plaisir de vous rencontrer bientôt !
Nicolas
Voilà, j’ai depuis quelques mois le grand plaisir d’avoir rejoint la belle famille des propriétaires de 928, après plus de 40 ans dans celle des passionnés !
Je m’appelle Nicolas, 52 ans, de Genève en Suisse, mais vivant dans l’Ain.
Depuis décembre 2023, je cocoon avec une magnifique 928 S4 automatique de 1988 (modèle 89), achetée en 4e main a un professionnel d’anciennes sportives de la region de Biarritz dont c’était la voiture personnelle. Peut-être est-il membre du club et vous connaissez donc déjà la voiture.
La belle a tout juste 70’000 km (dont 4’000 avec moi), et a déjà eu plusieurs vies : voiture allemande immédiatement exportée au Japon en 1989, desimmatriculée en 1994 (d’où le faible kilométrage), réimportée en Allemagne en 2007 avec 20’000km, puis en France par mon vendeur en 2020. Matching number, peinture d’origine et historique très complet. La belle était membre du Porsche Club 928 en Allemagne et y a même gagné un concours d’élégance en 2014.
Dans les options, elle a le pont auto bloquant, le toit ouvrant, la double climatisation et les sièges électriques à mémoire et chauffants g&d. Un autoradio Blaupunkt Bremen SQR 46 est venu remplacer celui d’origine. Et les jantes sont des GT polies.
J’espère que la belle va passer ses 35 prochaines années en ma compagnie, car j’ai accompli un de mes rêves en l’acquérant. Enfant et adolescent à Genève, voir passer des 928 était relativement fréquent. Moi a vélo, j’avais droit à l’image, et au son ! Quelle élégance et bestialité a la fois. C’est grâce à mon dentiste (haha, eh oui!) que j’ai eu le plaisir d’en conduire une la premiere fois, a mes 30 ans. Mon dentiste est porschiste passionné et on parlait de la 928 en attendant que la piqure d’anesthésiant fasse effet…
À côté de ma belle, un autre de mes rêves d’enfant lui tient compagnie. Une magnifique Maserati Quattroporte III de 1984. Là aussi, la magie du gros V8, mais c’est une autre histoire. Ce qui est sur, c’est qu’en passant de l’une a l’autre, on mesure la difference d’ingénieurie entre deux voitures développées dans la fin des années 1970. La Maserati, c’est un peu la fin d’une époque, celle des officines, des voitures faites main, très attachantes mais approximatives dans leur construction. La Porsche, c’est le début de l’ère moderne, à la conception rigoureuse et informatique. On n’y rigole pas, c’est du sérieux et fait pour rouler et durer.
Ravi donc de vous rejoindre et au plaisir de vous rencontrer bientôt !
Nicolas